La production a commencé en 2013 et se décline en deux versions : une cabriolet et une coupé. La Jaguar F-Type est considérée comme la digne héritière de la Jaguar type E. Elle est destinée à concurrencer la mythique Porsche 911 (991) et la très récente AMG GT de Mercedes. Le « lifting » est plus important que le précédent : la F-Type bénéficie d’une nouvelle face avant intégrant des projecteurs effilés. Appelée Project 7, elle est par la suite commercialisée en 2014 et limitée à 250 exemplaires. Cette série « drapeau à damier » fête les 70 ans de Jaguar. Pour célébrer les 70 ans de Jaguar dans le secteur des véhicules sportifs, la marque décline la version cabriolet F-Type en version Rallycar. Ce modèle est unique et n’a jamais fait de compétition. ↑ La sonorité du V6 et du V8 de la Jaguar F-Type. Chronologie des modèles de route de Jaguar de 1980 à nos jours. Droit d’auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.
Aux essais, les no 1, no 3 et no 4 réalisèrent un tir groupé en se qualifiant respectivement aux 7e, 8e et 9e places. La no 2, quant à elle se trouvait plus en retrait en se positionnant à la 17e place. Lors de la course, la no 1, après 220 tours, dut abandonner pour un problème de pompe d’eau. La no 4, quelques heures plus tard, devra également abandonner sur ennui mécanique. Pour la saison 1991, les XJR-12 avaient le même programme que l’année précédente, c’est-à-dire les 24 Heures de Daytona, les 12 Heures de Sebring et les 24 Heures du Mans. D’un point de vue technique, la Jaguar XJR-12 évolua avec une cylindré du moteur revue à la hausse qui passa de 6 000 cm3 à 6 500 cm3 pour les épreuves américaines. Championnat du Monde des voitures de sport. Pour les 24 Heures de Daytona, Jaguar engagea deux voitures, la no 2 aux mains de Davy Jones, Scott Pruett, Raul Boesel et Derek Warwick et la no 3 aux mains de John Nielsen.
En dépit du gain de poids de la Type-S de 152 kg par rapport à la Mark 2, aucun changement n’a été jugé nécessaire au système de freinage Dunlop à disques aux quatre roues. Des changements majeurs furent apportés au système de direction de la Type-S. La direction assistée Burman de la Mark 2, avec ses 4,3 tours de butée à butée, a été jugé trop démultipliée et manquant de sensations de la route. Le chauffage et la ventilation de la Mark 2 n’a pas été considéré comme suffisant pour la Type-S, plus haut de gamme, et fut remplacé par un système amélioré. Des contrôles séparés de la direction de la ventilation sont installés pour le conducteur et le passager avant. L’air chaud peut aussi être dirigé vers l’arrière grâce à une arrivée située sur la couverture de l’arbre entre les deux sièges avant. Un élément clé de la Mark X que Jaguar a voulu inclure dans la Type-S est la très sophistiquée et largement acclamée suspension arrière indépendante Jaguar.
Une voiture équipée d’un overdrive Laycock de Normanville avait un numéro type : xxxxxxDN. Ses performances étaient impressionnantes pour l’époque et restent plus qu’honnêtes quarante ans plus tard (220 ch, 200 km/h, 0-100 km/h en 8,5 secondes). La Mk2 arriva aussi au moment de la mise en service du réseau autoroutier qui permettait de « croiser » en tout confort à plus de 160 km/h. Elle a été la première grande routière de sport en permettant aux berlines d’avoir les performances des voitures de sport. Dans les années 1960, elle était tout autant la voiture des truands que celle des policiers (en Grande-Bretagne). Les attaques à main armée de banque ne pouvaient pas être complètes sans une Mk2 de fuite et une Mk2 de poursuite. C’était une berline luxueuse dans laquelle le cuir, la loupe de noyer et les tablettes de courtoisie (picnic tables) à l’arrière des sièges étaient de série mais, signe des temps, les sièges inclinables à l’avant étaient en option.
En 1968, les ventes des 420/Sovereign ont de nouveau été bien supérieures à celles des Type-S et 420G, mais dépassées par la résurgence de la Jaguar Mark 2/Daimler 250. À ce moment, beaucoup d’acheteurs potentiels de 420/Sovereign se retiennent et attendent la nouvelle Jaguar XJ6. La décision prise par Sir William de baser la Jaguar XJ6 sur le moteur, la suspension et les dimensions approximatives de la 420/Sovereign a montré sa foi dans la formule 420/Sovereign comme étant le meilleur moyen de rationaliser les berlines de la gamme. De cette manière, la 420/Sovereign devint victime de son propre succès. La production à Browns Lane de la Jaguar 420 fut arrêtée en septembre 1968 et celle de la Daimler Sovereign en juillet 1969, bien que des kits CKD (« completely knocked down ») Jaguar 420 aient été fournis jusqu’en novembre 1968 pour assemblage par Jaguar Cars South Africa Ltd. Airfix a produit un kit plastique à l’échelle 1/32 de la 420 pendant que la voiture était en production. Neo Scale Models produit actuellement une résine moulée au 1:43 de la 420, et aussi une version Sovereign. Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Jaguar 420 and Daimler Sovereign (1966-69) » (voir la liste des auteurs). ↑ Jaguar ‘420 Operating, Maintenance and Service Handbook, Jaguar Cars Limited, Publication No. Chronologie des modèles de route de Jaguar de 1980 à nos jours. Droit d’auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.
Pour les articles homonymes, voir Jaguar (homonymie). Jaguar Racing est une écurie britannique de course automobile appartenant à Jaguar Land Rover. Fondée sur les bases de l’ancienne équipe Stewart Grand Prix engagée en championnat du monde de 1997 à 1999, l’écurie a participé au championnat du monde de Formule 1 de 2000 à 2004. En cinq saisons et 85 Grands Prix, Jaguar Racing a inscrit un total de 49 points, obtenu deux podiums (grâce à deux troisième places d’Eddie Irvine à Monaco en 2001 et à Monza en 2002) et pris la tête d’une course à deux reprises. Depuis 2016, l’écurie participe au Championnat de Formule E FIA. Les monoplaces abandonnent leur livrée blanche pour le vert British Racing Green. La masse salariale s’est aussi considérablement accrue puisque l’écurie compte 275 employés. La monoplace R1 est motorisée par un V10 Cosworth CR2, compact, à 72°, de moins de 100 kg et dont le centre de gravité est très bas. 2001 est annoncée comme une année de transition, Jaguar devant repartir sur de nouvelles bases.