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Voiture Jaguar : Comment calculer la rentabilité d’une prospection ?

La Jaguar XJR-5 est une voiture de course développée et construite par Group 44, Inc.’s pour Jaguar dans le but de participer, à partir de 1982, au Championnat IMSA GT. Les Jaguar XJR-5 ont concouru jusqu’en 1985, avant que Jaguar la remplace par la Jaguar XJR-7. A la fin des années 1970, les Jaguars disparaissaient rapidement des routes du monde et l’entreprise avait désespérément besoin d’intéresser à nouveau les acheteurs de voitures à la marque. Le directeur général John Egan pensait qu’un programme de course était essentiel, en particulier sur un marché américain moribond. Mike Dale savait exactement à qui s’adresser pour diriger le programme. Bob Tullius et son équipe du Groupe 44 entretenaient une longue relation avec Jaguar et faisaient campagne depuis 20 ans sur les voitures de sport britanniques en Amérique, et Mike Dale admirait la détermination de Bob Tullius ainsi la préparation impeccable des voitures de son équipe pour la compétition. Bob Tullius partit à la recherche du talent dont il avait besoin et revint à l’atelier avec Lee Dykstra, designer et constructeur respecté, qui emmena avec lui Max Schenkel et Randy Wittine, expert en aérodynamique. L’objectif de conception de Lee Dykstra était une voiture avec un bon équilibre entre traînée et portance. Droit d’auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

Ces changements ont toutefois placé les jambes des grands passagers de la banquette arrière dans une posture à genoux haut assez inconfortable. Type-S de 3,8 litres comme étant inférieures à celles de la Mark 2 de 3,8 litres, mais ses véritables performances sur le terrain comme étant plus rapides. En dépit de son poids supplémentaire, la suspension arrière indépendante de la Type-S permit de tourner plus vite que la Mark 2, en particulier sur des surfaces inégales. Les autres avantages attribués à la suspension arrière furent une meilleure propulsion et un bien meilleur confort pour les passagers arrière. Certains amateurs se plaignirent de la perte de la « dérive » et notèrent que la Type-S subissait plus de roulis lors de virages à grande vitesse, mais le consensus était que la Type-S fourni des améliorations significatives par rapport à la Mark 2 des points de vue tenue de route, sécurité et confort de conduite.

Les ailes arrière ont été remodelées pour accueillir de nouveaux blocs optiques arrière enveloppants. De plus, la barre de pare-chocs séparée en caoutchouc noir de la XJ40 a été remplacée par un pare-chocs entièrement intégré de la même couleur que la carrosserie. La mascotte Jaguar « leaper » du capot n’a été installée que sur les voitures destinées aux marchés non européens. Ces véhicules sont équipés de barillets de serrure Tibbe à 8 disques similaires aux véhicules Ford de l’époque, sauf que Ford utilisait une serrure à 6 disques, d’où la lame de clé et les barils plus courts sur les modèles Ford. Ce modèle de serrure a également été utilisé par Aston Martin. L’intérieur de la X300 était similaire à celui de la XJ40, avec quelques modifications. Les sièges ont été remplacés par des modèles au profil plus arrondi, les garnitures en bois ont laissé la place à des modèles à bords biseautés et le volant a été redessiné. Les premières X300 n’étaient pas équipées de boîte à gants pour le passager avant, à la suite de contraintes d’espace dues à l’introduction d’un airbag passager avant.

Randle a examiné les modifications nécessaires (il commandera des roues adaptées, pour une traction accrue et un meilleur comportement routier…), afin que la voiture puisse atteindre sans risque des vitesses importantes. Dès le début, l’intention était de créer un véhicule capable de dépasser les 200 mph, environ 320 km/h. Tom Walkinshaw a été emballé par l’idée de produire des versions 6,2 litres du moteur V12 légendaire de Jaguar, avec quatre soupapes par cylindre, pour un résultat souhaité de 500 chevaux. La dénomination de cette future Jaguar est des plus claires : XJ220 pour 220 mph (miles per hour), soit près de 350 km/h. C’est l’objectif de vitesse maximale recherché par Randle pour « son » coupé biplace à châssis monocoque. Comparé à d’autres véhicules de course de Jaguar, comme la XJR-9, le prototype était sensiblement plus lourd, pesant 1 560 kg. À l’origine propulsée par le moteur V12, qui se révèle beaucoup trop lourd et encombrant, cette jaguar sera finalement équipée d’un V6 bi-turbo de 3 498 cm³, développant une puissance de 549 ch pour un poids contenu de 1 370 kg.

Avant la seconde Guerre Mondiale le nom de modèle « Jaguar » a été donné à toutes les voitures de la gamme construite par SS Cars Ltd, les berlines étant nommées SS Jaguar 1½ litre, 2½ litres ou 3½ litres, et les voitures de sport deux places Jaguar SS 100 2 ½ litres ou 3½ litres. Toutes les Mark IV ont été construites sur un châssis séparé avec suspension par ressorts à lames semi-elliptiques sur les essieux rigides avant et à arrière. Le plus petit modèle de la gamme avait à l’origine un moteur Standard à soupapes latérales de 1.608 cm³, mais à partir de 1938 il est remplacé par un 1.776 cm³ à soupapes en tête, toujours fabriqué par Standard, qui a également fourni les boîtes à quatre vitesses manuelles. Avant-guerre, la voiture était disponible en berline ou coupé décapotable, mais après la guerre seul le modèle fermé est produit. Jusqu’en 1938, la construction de la carrosserie sur tous les modèles se faisait traditionnellement en tôles d’acier sur cadres de bois, pour passer au tout-en-acier, tôles embouties, en 1938. La performance n’était pas un point fort, mais 113 km/h étaient possibles.

Bien que la C-XF ait quatre portes, sa forme est beaucoup plus proche d’un coupé que d’une berline. Bonneville dans l’Utah vitesse de pointe de 225,675 miles/h soit plus de 363 km/h. R-S de la XF a été présentée au salon de Los Angeles en novembre 2012. La puissance de la voiture est portée à 550 chevaux, le comportement routier est radicalisé, de même pour le style, afin de favoriser l’aérodynamique à haute vitesse (grand spolier arrière, boucliers ajourés), une vitesse maximale bridée à 300 kilomètres à l’heure (250 pour la XFR). Enfin le 0 à 100 est effectué en 4,5 secondes. Cette édition limitée en fait un véhicule rare car il en existe 500 modèles sur le globe (200 pour les Etats-Unis). La XFR-S existe également en « Sportbrake » (break), cette version (contrairement à la version berline dite saloon) est encore plus exclusive car il n’y a que 61 chanceux/chanceuses, ce qui en fait l’une des Jaguars les plus rares toutes années confondues. A titre de comparaison, la XJ220 qui est aujourd’hui 5 fois plus chère est aussi 5 fois moins rare. ↑ « Fastest. Jaguar. Chronologie des modèles de route de Jaguar de 1980 à nos jours. Droit d’auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

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Danièle Devitre, préf. Dr Claude Martin, ill. ↑ a et b (en) Milton Yacelga et Kimberly Craighead, « Filling the Gap – Melanistic jaguars in Panamá », Cat News, no 70, automne 2019, p. ↑ a b c d et e (en) W.E. Johnson, E. Eizirik, J. Pecon-Slattery, W.J. Murphy, A. Antunes, E. Teeling et S.J. O’Brien, « The Late Miocene radiation of modern Felidae: A genetic assessment. », Science, vol. 311, 2006, p. ↑ (en) A. Turner, « New fossil carnivore remains from the Sterkfontein hominid site (Mammalia: Carnivora) », Annals of the Transvaal Museum, vol. ↑ a b et c (en) L. Yu et Y.P. Zhang, « Phylogenetic studies of pantherine cats (Felidae) based on multiple genes, with novel application of nuclear beta-fibrinogen intron 7 to carnivores », Molecular Phylogenetics and Evolution, vol. 35, no 2, 2005, p. ↑ a et b (en) W.E. Johnson et S.J. Obrien, « Phylogenetic reconstruction of the Felidae using 16S rRNA and NADH-5 mitochondrial genes », Journal of Molecular Evolution, vol.